Au début du siècle les États-Unis utilisait les « United States Notes » (USNs) (qui allait devenir les « greenbacks ») comme base de son système financier. Les gens se promenaient avec des certificats qui démontraient qu’ils étaient véritablement propriétaires d’or ou d’argent (silver) et faisaient ainsi leur commerce en échangeant ces-dits certificats entre eux. Leur or et silver étaient stockés dans des entrepôts gouvernementaux.
En 1907, une panique économique fit en sorte que le leader républicain Nelson Aldrich (lequel était très connecté avec ses riches amis bancaires, entre autre J.P. Morgan, et en mariant sa fille à John D. Rockefeller Jr.) créa deux commissions d’enquêtes pour évaluer la situation. Le 3 février 1913, William H. Taft, le 27ième président américain, 29 jours avant de quitter la présidence, réussit à changer le 16ième amendement de la constitution américaine pour permettre au congrès de commencer à récolter des impôts sur les corporations (personnes morales) . Woodrow Wilson, et le 3 octobre 1913, réussit à faire passer le « Revenue Act of 1913 » qui, grâce au 16e amendement, permettait de récolter des impôts aux contribuables. Ces impôts commençait à 1% avec les couples gagnant plus de 4,000$ US et les gens seuls gagnant plus de 3,000$, et une table d’imposition progressive avait été établie faisant en sorte que les plus riche payaient plus d’impôts. À l’époque, moins de 1% des américains payaient des impôts.
Après des mois de discussions et d’opposition, de débats et d’amendements et de congressistes et de sénateurs très peu contents, le « Federal Reserve Act » fut adopté par le sénat avec 43 voix pour et 25 contre, avec 27 abstentions. Ces 27 voix auraient pu faire une grande différence dans l’histoire américaine. Le passage du « Federal Reserve Act » le 23 décembre 1913 et signé par le président américain Woodrow Wilson autorisa la formation de la « Réserve Fédérale », une institution privée (tel que dit par l’ancien patron Alan Greenspan) qui devient la banque centrale des États-Unis, et à laquelle on conféra de création d’argent non-basé sur l’or, et ce même si la constitution américaine ne permet pas ce genre de chose, La FED introduisit les « Federal Reserve Notes » (FRNs), qui allait éventuellement devenir le dollar américain tel qu’on le connaît aujourd’hui. L’acte fit en sorte que les banques fédérales furent incorporées en 1914 et à partir de 1916 la FED commença à distribuer ses FRNs en tant qu’argent en parallèle avec les USNs (United States Notes). Les USNs étaient des reçus officiels représentant les dépôts véritables en or, argent, les biens et possessions terrestres, soit la vraie richesse palpable de la population, alors que les FRNs eux étaient des billets sur lesquels on avait inscrit à l’encre une somme quelconque et était une dette monnayable basé sur strictement rien. En anglais le dollar américain est ce qu’on appelle du « Fiat currency », qui veut dire « argent dont la valeur est ordonné par le gouvernement et qui ne peut être converti en pièce (d’or exemple) ou espèce de même valeur ». En gros, c’est de l’argent de papier qui n’est basé sur rien et vaut ce que les gens au pouvoir disent que ça vaut, sans système pour supporter leurs paroles. Donc les deux systèmes roulaient ensemble et un individu pouvait s’il le désirait échanger son or contre des FRNs (dollar américain). Donc, il pouvait donner quelque chose dont la valeur est incontestable contre un instrument (FRN) monnayable qui ne vaut en réalité rien de plus que le papier et l’encre qui est dessus. Les gens, pour le privilège d’utiliser les FRNs, ont acceptés d’échanger leur or contre les FRNs et on aussi acceptés de payer l’intérêt généré par ces instruments de dettes en or. À chaque fois qu’un échange comme ça se faisait, moins d’or étaient disponible et plus de dette étaient créée. La FED imprimait du papier avec de l’encre dessus et le peuple donnait de l’or en change du privilège de l’utiliser. Tranquillement, la Réserve Fédérale se ramassait avec de plus en plus d’or et le peuple, de moins en moins. Éventuellement, la limite allait être atteinte.
En 1920, le Congrès américain vota le « Independant Treasury Act of 1920 », un acte qui mit fin au « Treasury Department of the United States government ». En gros, la trésorerie américaine gouvernementale fut éliminée en faveur d’un consortium privé. Ce consortium émettait des billets verts en papier avec un montant dessus en échange d’or et les intérêts de ces prêts au gouvernement devaient aussi être remboursés en or. La FED créait de l’argent à partir de rien et en échange vidait la réserve d’or du gouvernement. Un scénario qui amena assez rapidement au désastre et dont l’ampleur du cauchemar allait bientôt se révéler aux yeux de tous.
Dans son message d’adieu, Woodrow Wilson avait ceci à dire à propos des gens qui ont pris possession de la Réserve Fédérale: « « A great industrial nation is controlled by its system of credit. Our system of credit is privately concentrated. The growth of the nation, therefore, and all our activities are in the hands of a few men who, even if their action be honest and intended for the public interest, are necessarily concentrated upon the great undertakings in which their own money is involved and who necessarily, by very reason of their own limitations, chill and check and destroy genuine economic freedom. » », « « We have restricted credit, we have restricted opportunity, we have controlled development, and we have come to be one of the worst ruled, one of the most completely controlled and dominated, governments in the civilized world–no longer a government by free opinion, no longer a government by conviction and the vote of the majority, but a government by the opinion and the duress of small groups of dominant men. » » & « If there are men in this country big enough to own the government of the United States, they are going to own it. ». En gros Wilson dit qu’il regrette d’avoir donné le contrôle de la nation à des intérêts privés et que la liberté n’existe plus.
Quand il fut le temps de rembourser tous les intérêts générés par les FRNs, le peuple les paya avec son or, et la FED transféra le tout en Angleterre via l’Allemagne. Avant tôt, la réserve d’or se retrouve vide et les États-Unis se retrouvèrent dans la fâcheuse position de ne plus être en mesure de remplir leur obligations contractuelles à la Réserve Fédérale qui est de rembourser les prêts et intérêts, ce qu’on appelle dans le jargon des affaires « l’insolvabilité », ou si vous préférez, la faillite.
Dans les semaines qui précédèrent le mois de mars 1933, les américains perdirent grandement confiance envers les banques américaines et en peu de temps commencèrent à fermer leurs comptes et réclamaient recevoir leur en or, puisque c’étais ce qu’ils avaient déposés en échanges de certificats. Le seul problème fut que les banques furent absolument incapables de remettre tout cet or, eux qui étaient responsables de le conserver pour les déposants, car il n’en avait pas suffisamment pour suffire à la demande. Voyez-vous, si vous analysez bien ce que vous venez de lire, ça veux dire que les banques ont donnés en échange plus de certificats que d’or qu’ils possédaient véritablement dans leurs coffres. Donc toutes ces banques, ces centaines d’institutions, avaient toutes bien vues que le peuple préférait faire leurs affaires avec les certificats qu’avec le vrai or, et ils ont émis beaucoup plus de certificats que ce qu’ils avaient réellement en or dans leurs coffres. Le plus grand cauchemar des banques arriva et elles furent prisent la main dans le sac et le public réalisa à quel point ces banques les volaient. Conséquemment, la population tenta de reprendre ce qu’elle pouvait et, face à l’impossibilité de répondre aux besoins, des milliers de banques fermèrent leurs portes et durent déclarer faillite, laissant criminellement la population en plan et en emportant les économies de ces épargnants, eux qui souffraient déjà de la crise économique de 1929, laquelle fut très bien montée et dirigée par la Réserve Fédérale (faites de la recherche pour les « Recall Loans[4] »). Effectivement, en 1931 uniquement, 2’290 banques ont fait faillites aux États-Unis, et les conséquences de la grande dépression se sont fait grandement sentir aussi en Europe où près de 15 millions d’emplois furent perdus.
C’est ainsi que le 3 mars 1933, le gouverneur de Washington, Clarence Martin, via un bill autorisé par les deux chambres (« Washington State Senate Bill No. 185 »), ordonne la fermeture de toutes les banques de l’état de Washington. Avant même le début de la prochaine journée, et ce à la grandeur du pays, le 4 mars 1933, toutes les banques des 48 états (à cette époque) barrent aussi leurs portent.
Arrive Franklin D. Roosevelt, le fraîchement élu président de la corporation des États-Unis, le 4 mars 1933. Juste à temps pour sauver les banques…
Certains historiens prétendre que la faillite des États-Unis n’est qu’une coïncidence historique mais si vous vous donnez la peine de faire de la recherche, peut être découvrirez-vous que les lois et ordres exécutifs mis de l’avant à cet époque ont fait en sorte que tout fût extrêmement bien orchestré, et que tout le monde marchait main dans la main. À vous d’en juger par contre.
Voici la liste des ordres exécutifs, messages et résolutions signés de la main du président américain Franklin D. Roosevelt :
- Message inaugural de Franklin D Roosevelt (4 mars 1933) :
- Il explique qu’il va contrôler les banques et le système ;
- Proclamation 2038 (March 5, 1933)
- (Proclamation qui allait devenir le « Act of March 9 1933 ») ;
- Executive Proclamation 2039 (6 mars, 1933)
- La déclaration d’un « Bank Holiday » qui durera 11 jours (période pendant laquelle les banques resteront fermées);
- Résolutions des gouverneurs (6 mars 1933)
- Les gouverneurs des 48 États annoncent que les labeurs futurs de leurs constituants pourront pallier (compenser pour) la faillite, les transformant en esclaves économiques.
- Executive Proclamation 2040 (9 mars 1933)
- La creation d’un « Bank Holiday »;
- Message to Congress on Resumption of Banking (9 mars 1933)
- Demande de Roosevelt pour que la FED émette tout plein d’argent;
- Executive order 6073 (10 mars 1933)
- “Executive Order 6073 on Reopening Banks”;
- Executive order 6102 (5 avril 1933)
- Cet ordre exige que tout ce qui est pièce d’or, monnaie ou certificat pour de l’or « soit immédiatement retourné au gouvernement »;
- Executive order 6111 (20 avril 1933)
- Gère les transactions financères sur les marches étrangers;
- HRJ-192, June 5th 1933, 73rd Congress (5 juin 1933)
- La résolution qui élimine de l’or comme standard et scelle la faillite;
- Executive order 6246 (10 août 1933)
- Gère les achats du gouvernement et l’application des codes de lois.
En 6 octobre 1917, le « Trading with the Enemy Act (Public Law 65-91, 65th Congress, Session I, Chapters 105, 106) » (l’ « Acte sur les transactions financières avec l’ennemi ») fût adopté et définissait ce qu’était, faisait la gestion de ce qu’était, et punissait, les transactions financières avec les ennemis (donc pas les citoyens américains), lesquels étaient obligé par cet acte d’obtenir une licence du gouvernement pour faire des affaires. L’application de cet acte était limitée et ne pouvait qu’être en fonction qu’en tant de guerre. Le but de cet acte était de permettre au président de prohiber tout échange avec un ennemi identifié et de saisir ses biens et propriétés. L’acte de 1917 protégeait les citoyens américains lors d’échanges commerciaux à l’intérieur des États-Unis s’ils utilisaient des FRNs (dollars américains). Et pour s’assurer que les citoyens américains aient un remède (une solution) en cas de saisie de leurs biens et propriétés via cet acte, le Congrès donna plein pouvoir à la section 9(a), laquelle rendait possible des procédures judiciaires et administratives pas ces personnes, tant qu’elles n’étaient pas des ennemis (mais bien des citoyens américains), afin d’obtenir compensation ou dédommagement et de reprendre leurs biens et propriétés saisis. Par contre, dans la proclamation exécutive 2038 (« The Act of March 9, 1933, Section 2 »), dans laquelle se trouvait un amendement au « Trading with the Enemy Act » de 1917, le Congrès donna au président les pouvoirs lui permettant de régulariser encore plus les transactions économiques internationales impliquant des biens et des propriétés dans lesquelles toute nation ou citoyen (américain), ami ou autre, avait un intérêt à l’intérieur des États-Unis. Ces pouvoirs pouvaient être exercés en temps de guerre ou d’urgence nationale déclarée. Alors qu’en 1917, l’acte « excluait » les citoyens américains, l’amendement de 1933 les « incluaient ». C’est à ce jour précis que les citoyens américains sont devenus officiellement les ennemis du gouvernement des États-Unis et des intérêts privés qui dominaient les sphères du pouvoir américain. C’est grâce à cet acte que plus tard on ordonna la saisie de tout l’or détenu par la population.
Une fois que toutes ces banques obtinrent leurs licences, il était temps de retirer l’or des mains de la population, pour leur donner des dollars américains sans substance et sans valeur. Le 5 avril 1933, Roosevelt émit un communiqué qui disait que le peuple américain et les banques avaient fait confiance au gouvernement et avait jusqu’à présent rapporté aux banques de la Réserve Fédérale, un total excédant « 1.2 milliards » en or (valeur de l’époque). Mais il restait des récalcitrants alors il signa l’ordre exécutif 6102 et ordonna à tous et chacun qu’ils apportent, d’ici le 1 mai 1933, à une des succursales de la « Federal Reserve System », tout ce qu’ils avaient en or, sous forme de monnaie, coins et certificats. Et pour démontrer à quel point la FED (l’institution privée) ne niaisait pas, elle força Roosevelt à déclarer que tout être humain qui ne se pliait pas à cet ordre exécutif se verrait frappé d’une amende de 10,000 dollars (américains) PAR JOUR DE RETARD et de 10 ans d’emprisonnement. Comparez ce châtiment à n’importe quel autre crime aujourd’hui (à part un meurtre), (et en tenant compte de l’inflation) et prouvez-moi qu’ils ne voulaient pas s’assurer de la plus complète main mise sur le peuple américain. Ensuite Roosevelt attendit les 30 jours règlementaires selon le Code de Commerce Uniforme (Uniform Commercial Code (UCC)) pour faire approuver par le congrès la résolution 192.
La faillite des États-Unis fut officialisée le 5 juin 1933 à 16h40 quand le congrès approuva la résolution 192 de la Chambre rendant légal et donnant pleine valeur au billet vert de la Réserve Fédérale. Je parle de faillite ici parce qu’avant, l’or était un standard sur lequel le pays pouvait prendre refuge. Mais avec le billet de la FED, qui est de la dette en partant, le pays se trouvait à devoir de plus d’argent que ce qu’il en empruntait, et ce à partir du moment où il en empruntait. Donc, à partir du 1er dollar, et sans possibilité de rembourser les intérêts sans emprunter plus de dollars, les États-Unis venaient d’embarquer dans le processus perpétuel d’endettement, l’amenant à la faillite technique éventuelle. Par la suite, pour gérer la faillite ainsi que l’apport financier constant du peuple américain, et pour ne manquer personne, la corporation des États-Unis, le 14 août 1935, adopte le « Social Security Act », qui allait donner un numéro de sécurité sociale à tous les « citoyens » américains, rendit les rapports d’impôts obligatoires pour tous ces « numéros », puis donne le mandat au « Bureau of Internal Revenue » de se charger de collecter les taxes auprès de ces « numéros » (maintenant connue sous le nom Internal Revenue Services, l’IRS n’est rien d’autre qu’une agence de collection et ne devrait pas exister non plus).
Donc en résumé, la Réserve Fédérale prête au gouvernement américain de l’argent et charge un intérêt dessus. Le gouvernement prend cet argent qui est fictif, basé sur rien, et fait travailler le peuple et c’est ce dernier qui rembourse le gouvernement grâce à son travail et ses labeurs, rapportant quelque chose de solide et de tangible, en biens et propriétés. Quand arrive le moment ou le peuple et le gouvernement ne peuvent plus rembourser, (l’insolvabilité) les banques (et la FED) saisissent des biens et des propriétés et la faillite est officialisée. Donc, la banque émet quelque chose sans substance et à la fin aboutît avec quelque chose de solide, de tangible. Tel que mentionné précédemment, puisque la Réserve Fédérale à confisqué tout l’or et le silver, le peuple ne pouvait plus payer sa dette avec quelque chose ayant de la véritable valeur, mais bien uniquement avec des billets verts, lesquels étaient vendus au gouvernement avec intérêt (ils mettent de la dette en circulation) et sous promesse de remboursement et c’est pourquoi les billets américains (et canadiens) sont appelé des « Notes Promissoires » (promissory notes), soit une promesse de remboursement. Ce n’est donc qu’une question de temps avant la faillite.
C’est lorsqu’on comprend la spectaculaire machination de l’économie actuelle et de son système qu’on s’aperçoit comment d’y participer volontairement, pour un gouvernement, est un acte de trahison. Vous savez maintenant comment il fonctionne, et vous avez aussi vus quelles lois ont été votées dans le but d’instaurer ce système. Roosevelt est le président américain à qui le peuple américain doit sa dette, sa pauvreté, sa faillite et la perte de sa souveraineté en tant que nation. Mais bon, encore la, ce n’est que mon opinion…
Petite parenthèse ici à propos des personnes et des corporations. Dans l’ordre exécutif 6102, on décrit le mot personne comme étant « tout individu, partenariat, association ou corporation ». Mais par contre, plus bas, on fait référence à la personne naturelle en parlant de ceux qui peuvent aller en prison (« if a natural person, may be imprisoned »). Parce qu’au sens légal une personne n’est pas une chose vivante, en écrivant « personne naturelle », on lui confère un statut vivant et on crée la distinction entre les deux. La personne naturelle est vivante mais reste l’esclave de l’état par définition, contrairement à l’être humain. Le concept de personne naturelle vient des enfants nés dans les familles d’esclaves. Si on parle d’êtres humains, on peut aussi dire « entités physiques ».
John F. Kennedy a bien tenté de défier la réserve fédérale en signant le 4 juin 1963 un ordre exécutif ordonnant (le retour et) l’émission des « silver certificates ». Chaque once de « silver » dans les coffres de l’état permettait l’émission d’un certificat échangeable contre tout produit et service, remplaçant par le fait même les FRNs (les dollars américains). Évidemment, l’assassinat de Kennedy, juste à temps pour la FED, mis un frein à tout cela et, bien que l’ordre exécutif soit toujours en fonction, « curieusement » aucun autre président américain n’a, jusqu’à ce jour, émit de « silver certificate » (car seul le président peut en émettre).
Des paroles de gens célèbres à propos des banques :
- Président américain Andrew Jackson (1829-1837): « Si le people comprenait l’injustice de l’argent et comment fonctionne notre système bancaire, il y aurait une révolution d’ici la fin de la journée. »
- Sénateur George W. Malone (Nevada) parlant devant le congrès en 1957: « Je crois que si le peuple de cette nation comprenait pleinement ce que le congrès leur a fait depuis les 49 dernières années, il marcherait sur Washington et n’attendrais pas les prochaines élections. »
- John F. Hylan, maire de New York : « La véritable menace contre notre république est ce gouvernement invisible, qui comme une pieuvre, étends ses tentacules gluantes sur nos villes, états et notre nation. »
- Président américain Franklin D. Roosevelt : « La vérité derrière tout ça, comme nous le savons tous, c’est qu’une entité économique possède le gouvernement depuis les jours d’Andrew Jackson. »
- Président Woodrow Wilson : « Certains des hommes les plus puissants des « États-Unis, dans le monde du commerce et manufacturier, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il existe un groupe si puissant, si organisé, si subtile, si camouflé, si attentif, si interconnecté, si complet, si pervers, que quand ils le condamnent c’est à peine si c’est chuchoté. »
- Président Woodrow Wilson : « Je suis un homme très déçu. J’ai, sans m’en rendre compte, ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré. L’évolution de notre nation et toutes ces activités sont dans les mains d’une poignée d’individus. Nous en somme venus à être un des gouvernement les moins bien gérés, entièrement contrôlés et dominés du monde civilisé. Nous ne sommes plus un gouvernement d’opinions libres, de convictions et élu par le peuple, mais un gouvernement dominé par les opinions et les contraintes d’un petit groupe d’hommes. »
- Thomas Jefferson : « Si le peuple américain laisse aux banques privées le contrôle de l’émission de la monnaie, les banques et corporations qui auront grossies autour d’eux, via l’inflation et la déflation, vont déposséder le peuple de tout leurs biens et terres jusqu’à ce que leurs enfants se retrouvent dans les rues d’un continent conquis par leurs ancêtres. »
Pour conclure ce segment sur la FED, un autre argument qui explique pourquoi la FED (ainsi que la Banque du Canada qui fait la même chose) est une entreprise privée, voyons ici un article de Bloomberg News qui rapporte que la FED injecte 630$ milliards de plus dans le système financier [1]. D’un côté, ça prends 2 semaines pour un « bailout » gouvernemental de 700$ milliards prennent forme et soit autorisé, et de l’autre côté, la FED, sans demander de permission, injecte un autre 630$ milliards. Si la FED n’a pas besoin de demander la permission pour faire ça, c’est qu’elle n’a pas de comptes à rendre non plus, et donc elle est indépendante. Quand la Banque du Canada à décidé de lancer 20$ milliards dans l’économie [2], elle l’a fait sans demander la permission non plus. Elle non plus n’a pas de comptes à rendre.
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